Le média français Views a partagé sur Instagram une étude datant de 1997, publiée dans The Lancet, qui établissait un lien entre la laideur de l’environnement et la santé mentale des habitants
Ce sujet revient aujourd’hui, notamment grâce au développement de la “neuroarchitecture”. de la “neuroarchitecture”. Cette discipline explore la corrélation entre la structure des bâtiments et la santé mentale et physique, en mesurant les réactions de l’organisme face à l’architecture et à l’urbanisme d’une ville.
Bien qu’encore peu développée, plusieurs études adoptent cette approche. Parmi les plus importantes figurent celles menées par l’université de Cambridge et celle de l’université de Waterloo, sous la direction de Collin Edard, un pionnier de la neuroarchitecture. Lancée en 2024, cette dernière étude est citée par le média sur Instagram.

En lisant cet article, on ne peut s’empêcher de penser à Port-au-Prince et ses environs, qui ressemblent à une ville en guerre. Les bâtiments délabrés donnent l’impression d’une cité post-apocalyptique.
Pour couronner le tout, 80 % des hôpitaux de cette zone sont fermés en raison de l’insécurité, selon une ONG citée par Ayibopost. Et également, cette situation affecte malheureusement ces lieux sacrés.