7 juillet 2005, les transports publics de la capitale anglaise🇽🇪, Londres, sont touchés par 4 explosions, faisant 56 morts et 784 blessés.
La veille de ces « attentats-suicides », le Comité olympique international (COI) désignait Londres comme hôte des JO d’été de 2012, et le jour même du 7 juillet, le 31e sommet du G8 débutait en Écosse🇽🇸.
Les 3 premiers explosions ont lieu dans environ 50 secondes et l’autre près d’une heure après. 5 jours après, une caméra de surveillance identifiait les terroristes, 4 jeunes britanniques🇬🇧 :
1- Mohammad Sidique Khan (30 ans), responsable de la mort de 7 personnes à Edgware Road Station ;
2- Shehzad Tanweer (22 ans), à Aldgate East Station tuant 7 personnes aussi ;
3- Germaine Lindsay (19 ans) fit le plus grand nombre de victimes, 27, au Russel Square Station ;
4- enfin, Habib Hussain (18 ans), le deuxième plus grand meurtrier, tua 14 personnes dans un bus au Tavistock Square, le dernier explosion.
Une victime rendît l’âme dans un hôpital. Les kamikazes n’avaient aucun casier judiciaire.
Ces attentats engendrera plusieurs réactions et mesures sur le plan national et international. Des chefs d’État dans le monde entier ont exprimé leur soutien au gouvernement britannique🇬🇧.
Le Premier ministre canadien🇨🇦, Paul Martin déclarera : « Notre liberté collective a été attaquée aujourd’hui par ceux qui veulent utiliser la violence et le meurtre pour que l’extrémisme l’emporte dans le monde. »
Samuel Schmid, président de la Confédération suisse🇨🇭, a rappelé : « Nous ne pouvons plus dormir naïvement sur nos deux oreilles. »
George W. Bush annoncera que « La guerre contre le terrorisme continue ».
Par ailleurs, la police londonienne s’est vue octroyer le droit de « tuer à vue sans préavis ». Ce qui provoquera une bavure quelques jours plus tard : le 22 juillet, la police tua de 7 balles à la tête un jeune brésilien🇧🇷 nommé Jean Charles de Menezes.
Jean Obed SIBRUN